Portrait de Jacques Fournée

Jacques Fournée

Éclectique ! C’est sans doute le terme qui qualifie le mieux la vie de Jacques Fournée. Treize établissements jusqu’au Bac (autant –parait-il- que Jean Cocteau), tous les métiers du monde, certains exercés en Angleterre et en Allemagne. Professeur à l’époque où les instituteurs étaient encore respectés, journaliste à celle des typographes et de l’impression à plat, pigiste cameraman à télé-Normandie, quand l’ORTF commençait ses décrochages du soir. Marchand de journaux dans la perfide Albion et Marchand de vin chez nos cousins germains…

Retour en France fin des années 80, direction Sud. Puis, avec la découverte des hivers verts, celle de l’écriture, du théâtre, de la mise-en-scène.

Un recueil de nouvelles, « Le diable des treize vents », édité « aux Chats Noirs », trois pièces de théâtre montées et jouées en Provence, des scénarios et deux romans.

Éclectique ?

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